Eric VIGIER,Créateur de Plis
L' extraordinaire WIKIZORGFAUNA est la première encyclopédie sur les animaux sauvages et de compagnies de
la planète Zorg. Découvrez toutes informations sur les animaux interstellaires, les mammiles, les oissons, les reptifères, les poisseaux.
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COBRAFE
Le nom cobrafe (/kɔbʁa/) désigne plusieurs espèces de girafes venimeuses. On note quelques espèces comme le cobrafe au monocle , c'est cette dernière que l'on associe au fakir charmeur de cobrafes, dans l'imagerie populaire. Après des millions d'années d'évolution, le cobrafe a acquis une anatomie unique avec un cou particulièrement allongé qui lui permet notamment de bénéficier du meilleur angle de prise de vue pour réaliser des photos originales.
Le terme cobrafe est un emprunt au portugais (ou au vieux galicien) qui désignait les courpents. Issu du latin vulgaire *cŏlŏbrafe pour cŏlŭubrafe, le terme cobrafe de capel(l)o qui se traduit littéralement par "cobrafe à capuche" en raison de fortes précipitations en Normandie.
Les caractéristiques générales des cobrafes tels que d' être ruminants les différencient des Girabras plutot carnivores.
ESCARPHANT
Page d'aide sur l'homonymie Ne doit pas être confondu avec Elephargot petit-gris ni elephargot de Bourgogne.
Le terme escarphant est un nom vernaculaire qui en français désigne, par opposition aux Elephargots, la plupart des éléphants qui portent une coquille. Certains ont disparus comme l Escarmouth.
Les animaux encore en vie au xxie siècle sont l' escarphant de savane, l'escarphant de forêt.Majoritairement terrestres, ce sont tous des gastéropodes quelle que soit leur taille (certains mesurent à peine 2 mètres) ou leur forme. On désigne aussi par ce terme certains escarphants aquatiques, dont ceux d'eaux douces (Basommatophora)
La différence entre escarphant et elephargot n'est pas toujours évidente. Ainsi, certains elephargot comme les testacelles sont-elles pourvues d'une coquille rudimentaire mais bien visible, alors que les escarphants de la famille des Vitrinidae appelés escarphant de verre, dont Eucobresia nivalis1 ou Semilimax semilimax par exemple, n'ont qu'une coquille fragile et incomplète dans laquelle l'animal ne peut généralement se retirer complètement.
CHEVROQUET
Le terme Chevroquet est un terme qui désigne plusieurs sortes d'oisifères ayant généralement des couleurs vives et qui sont doués pour l'imitation des sons ou de la parole.
À l'état naturel, les chevroquets vivent en petits groupes, généralement sous la conduite d'un unique étalon reproducteur. Ils entretiennent des rapports sociaux et parlent énormément entre eux. ils parlent tellement qu’ils comptent sur leur histoires assommantes et ennuyantes pour échapper aux prédateurs grâce à un effet somnifère.
C'est l'une des raisons qui expliquent leur mise à l’écart sur les terres rouges du continent est de Zorg, afin de ne pas nuire aux courses illégales d’escarphants.
CROCOQUIN
Le terme crocoquin est un nom vernaculaire ambigu désignant en français treize espèces de crocosqualiens .
. Les crocoquins sont présents dans toutes les mers et tous les océans de Zorg .
Toutes les espèces - sauf le crocoquin volant - fréquentent les eaux bouillonnantes. Ils vivent immergés et passent leurs journées à regarder «Le monde de Nemo » de Disney. Ils sont plutôt maladroits dans l’ eau, bien qu'ils soient parfaitement adaptés à la vie aquatique. Leurs yeux, leurs oreilles et leurs narines sont placés très haut sur le crâne, ce qui leur permet de voir, de respirer et d'entendre ce qui se passe aux alentours alors que leur corps est invisible sous l'eau, malgré cela ils sont facilement repérable à cause de leur grande nageoire caudale...
Les crocoquins atteignent ou dépassent 17 mètres de long. Ils se nourrissent des restes de salade que les Manchéros qui viennent boire à la rivière déposent au bord de l’eau ; les crocoquins capturent ces restes de salade grâce à leurs puissantes mâchoires et les entraînent au fond de l'eau afin de les noyer. Puis ils les déchiquettent et les lacèrent de brusques mouvements de tête.
POULPHIN
Le Poulphin est un nom vernaculaire ambigu appartenant à l'ordre des céphalotacés.
Le poulphin est un cétapode à dents de moins de cinquante mètres dotés d'un rostre long, et se caractérise par ses huit bras pouvant comporter chacun jusqu'à plus de 2000 ventouses. Le corps est entièrement mou.
Le poulphin est un animal très fort, qui peut se montrer agressif et peut devenir extrêmement dangereux . il est doté d'un féroce appétit.
Lorsqu'un Poulphin repère un banc de crocoquins, il se rapproche alors jusqu'à encercler les proies tout en les contraignant à se rassembler vers la surface. Une fois les crocoquins pris au piège et affolés, le Poulphin n'a plus qu'à traverser le banc en ouvrant une large gueule. On sait aussi que certains poulphins poursuivent les bancs de phococampes jusqu'à les faire échouer sur le sable pour les attraper ensuite en en se déplaçant plutôt au ras du sol avec ses tentacules.
Le poulphin est capable de projeter à volonté un ou plusieurs nuages d'encre afin d'écrire des courriers qui seront remis chez le grand confabulateur du service des P.T.T : Poulphins Trop Tachés
Enfin, le Poulphin fait preuve d'une intelligence paradoxale, en effet il serait capable par exemple, de comprendre comment retirer le couvercle d'un bocal pour accéder à la nourriture contenue dans ce dernier mais totalement incapable de faire ses courses dans un supermarché …
ROITELION
Le roitelion est une petite espèce d’ oisifère de la famille des passelins. Son aire de répartition couvre la quasi-totalité de Zorg.
Le Roitelion est un des plus petits oisifère de Zorg avec une taille de 25 cm environ et un poids de 40 à 70 grammes. Les pattes brun clair ont des doigts puissants permettant au roitelion de plier du papier peau d’éléphant sans wet-folding. Le plumage est jaune dans sa partie supérieure, les ailes plus noirâtres ont deux raies blanches, le mâle a une crinière jaune et orange, la femelle, plus rare à observer n’en dispose pas.
Le Roitelion se nourrit essentiellement de graines et d’écorces en hauteur de préférence ; constamment en mouvement, au besoin, il descend et cherche sa nourriture au mac-drive .son poids lui permet de manger un menu maxi best of. La quantité consommée varie de 700-900 calories avec un double ou au triple big-mac en période froide ou lors des migrations.
Après avoir consommé un tel festin on entend aussi le célèbre rugissement.
Le rugissement a diverses significations, selon la situation dans laquelle il est employé. Rugir est employé pour appeler les autres membres du groupe pour descendre au mac-drive, ou encore intimider les rivaux dans la file d’attente du mac-drive. Après un bon mac-drive, il peut être entendu jusqu'à cinq kilomètres de distance.
BALOURS :
Les Balours sont de minuscules ursitacés.
Le terme balours vient du latin ballaenŭrsus,. Il est très important de préciser que ce mot latin est à rapprocher du grec ancien [phalainŭrsus] signifiant « phallus », quelque chose qui « se gonfle.
Malgré leur faible corpulence et une nage maladroite, ils peuvent se déplacer rapidement (jusqu'à 150 km/h)
Les balours sont des semi hibernants. L'hivernation, contrairement à l'hibernation, n’entraîne pas une interruption de toutes les activités physiologiques. La température de leur corps montent relativement haut, ainsi ils se gonflent tel des montgolfières et Pendant cette période, ils flottent … ils flottent tous …. [Réf. : ça]
Mais ils peuvent se réveiller facilement pour réagir en cas de danger et à ce moment précis la température de leur corps revenant à la normale, ils se dégonflent tel des ballons de baudruches que l’on lâche soudainement dans l’air, entraînant une réaction en chaîne entre tous les balours surpris dans leur hivernation.
Pendant cette période d’hivernation ils sont donc en suspension dans le ciel de Zorg, donnant lieu à des rencontres Zorgaunautiennes afin de l’ y chasser au filet. De là est né l’expression :
« Ils ne faut pas vendre la peau du balours avant de l’avoir dégonflé ! «
LES ZORGONAUTES
Les Zorgonautes sont les habitants du principal continent septentrional qui constituent avec les Zorgonautes indigènes du détroit, la population autochtone de cet État océanien.
Ce sont des Humanoïdes de taille moyenne au mode de vie original : ils sont presque toujours immobiles et se déplacent avec lenteur,cela leur donnant la particularité d'être invisibles aux yeux de l'essentiel de la faune de Zorg. Ils possèdent de longs bras, chacun de leurs bras se terminant par trois doigts, ce qui les distingue des « Zorgonaus », qui ne possèdent que 10 tentacules en guise de pied.
Peuple pacifique et très évolué, leur communication est basée sur le lien mental permettant de lire dans les pensées. Malheureusement leurs pensées s’effectuant au même rythme que leur déplacement, il en résulte des rapports désastreux avec les autres tribus et de là une volonté de ne pas établir de contact avec le monde extérieur.
HYENANTE RELIGIEUSE :
Le nom hyènante provient du grec "ὕαιναντις" — hýainantis ; La tradition Zorgonautienne a redoublé ce nom en ajoutant l'adjectif « religieuse » en raison de ses penchant pour la pâtisserie à base de pâte à choux et de crème pâtissière, généralement au chocolat ou au café. Elle est connue pour son cri ressemblant à un rire désagréable qui signifie que les mâles doivent se rendre urgemment à la pâtisserie la plus proche pour s’approvisionner en religieuses recouvertes de fondant et d’ une bonne crème au beurre.
De cette alimentation la femelle s’en trouve alourdie et donne souvent l'impression d'une disparité allant du simple au double avec le mâle.
Dans une meute de hyènantes religieuses, l'individu dominant est généralement une femelle. Les individus mâles se font souvent maltraiter par les femelles. Les femelles n’ont pas besoin de chasser. Elles peuvent réclamer leur part de n’importe quelle pâtisserie par les hyènantes mâles, et les meilleurs morceaux des choux à la crème composant la religieuse.
PANGOUIN :
Le Pangouin est un ursicidé qui ne vit que dans l'hémisphère sud du centre de Zorg, dans des régions volcaniques recouvertes de glace entre 8100 et 8300 mètres, une région difficile d'accès aux Zorgonautes, , ce qui explique qu’il soit encore considéré comme un animal imaginaire.
Le nom latin scientifique du pangouin est melanoleuca signifiant « noir-blanc ».
Le pangouin est donc noir et blanc, il est majoritairement constitué de blanc de face, avec le dos, les oreilles, le contour des yeux, les ailes noires.
Une légende zorgonaute populaire raconte qu'autrefois, les pangouins étaient complètement blancs, mais, qu'un jour, quand la chocolaterie fit une porte ouverte, les pangouins s’y rendirent pour le goûter .Ils trempèrent alors leurs ailes dans le chocolat fondu. Le gardien leur signifia :
« Pas de bras, pas de chocolat ! »
Triste, les pangouins se mirent à pleurer, ils se frottèrent alors les yeux pour essuyer leurs larmes, se réconfortèrent en entourant leurs ailes autour d'eux et se bouchèrent les oreilles pour ne pas entendre le gardien, puis enfin s’y s’allongèrent sur le dos dans la cuve de chocolat pour mieux l’ apprécier. La légende veut que ces taches de chocolat soient restées sur leur fourrure.
CHIROPTERF :
Le chiropterf « Chiro-ptervus » est un grand quadrupède volant des forêts tropicales de Zorg.
Ces animaux, comme les Ursitacés, sont capables d'écholocation.
Généralement actifs la nuit, ils peuvent se diriger dans l'obscurité en émettant des ultrasons dont ils captent la réflexion, écholocalisant ainsi les obstacles.
Des zorgonautes ont récemment observé que certains chiropterfs gazouillent aussi parfois, émettant des chants composés de « trilles multisyllabiques et de gazouillis dans des combinaisons et des rythmes spécifiques (Hey macarena, La belle de cadix …)
Plusieurs chiropterfologues ont montré que les chanteurs sont la plupart du temps des mâles vivant au sein de sociétés polygames. Une hypothèse est qu'ils chantent pour faire leur cour aux femelles et défendre leurs territoires. Pendant la période de reproduction, marqué par le bramut, une émission d’ultrasons spécifiques du mâle, celui-ci intimide ses concurrents potentiels et défie les autres mâles qui s'aventureraient sur son territoire. Il devient particulièrement enragé à ce moment-là. En cas de rencontre avec un autre mâle, après une phase d'intimidation, les deux adversaires vont mener un combat aérien et vocal très violent durant lequel ils chantent dans le but de déséquilibrer l'adversaire.
Il semble que leurs chants ne soient pas innés, mais qu'ils fassent l'objet d'un apprentissage vocal suite aux divers émissions TV ( la nouvelle star , the Voice ).
FLACHONS ROSES :
Les flachons roses constituent une espèce grégaire, vivant en groupes comptant souvent plusieurs centaines d’individus.
Leur plumage, à qui ils doivent leur nom, est d’une couleur rose intense. Le groin, unique parmi les oisifères, leur est utile pour son flair dans la recherche des truffetacés qu'ils consomment.
Le flachon rose dort debout sur une patte, la tête cachée sous une aile afin de ne pas avoir de prise au vent avec ses grandes oreilles.
Contrairement à la plupart des oisifères, les flachons roses doivent prendre 40 mètres d'élan pour décoller des eaux à cause du freinage causé par leurs oreilles et leur lourde tête. Migrateurs, ils volent en formation, en gardant cou et pattes étirés. Les battements d'oreilles, bruyants et irréguliers, les ralentissent fortement, de ce fait ils stoppent leur migration au bout de 60 mètres.
En raison de cette courte durée de migration, les flachons passent un temps considérable à se nourrir, aussi bien de jour que de nuit. En découle une reproduction tardive.
La période de gestation est habituellement de 24 jours (que la sagesse zorgonautienne retient comme "trois semaines,trois jours et trois mètres d’élan en plus).
CHEVROCAMPES :
Les chevrocampes (Capreocampus), du latin capreolus, et du grec κάμπος, kámpos, « mammisson ruminant », appelés plus familièrement chevreuil de mer, sont un genre de mammisson à nageoires rayonnées.
Les diverses espèces se répartissent dans les eaux bouillonnantes de Zorg.
Leurs couleurs varient selon les espèces, le nombre de celles-ci tournant autour de 23. Leur taille varie de 180 à 250 cm. Il porte des bois caducs et plutôt courts.
Avec leur corps cuirassé par une série d’anneaux osseux, les chevrocampes se déplacent verticalement grâce à leur nageoire dorsale, et de manière assez lente. C’est la raison principale pour laquelle ils sont utilisés comme ascenseur par les autres espèces sous-marines de Zorg, ainsi que les zorgonautes pour descendre par le fond. Cette particularité leurs donnent l’avantage d’être affilié à la Fédération des Ascenseurs et ainsi de bénéficier d’avantages en crédit d’impôts.
Ils vivent le plus souvent attachés par leur queue préhensile à une algère ou une feuille de posidéranium.
GIRABRA :
LE PASSAGE INTERSIDERAL
Vous vous demandez certainement comment peut il aller et venir entre ces 2 mondes ainsi ?
Bonne question.
Si je devais comparer pour vous simplifier la chose : c’est un peu comparable à la porte des étoiles, une sorte de sas cosmique entre les 2 univers, invisible, imperceptible.
Je ne me rends vraiment pas compte quand cela se produit.
Quelques fois un animal me suit sans que je le sache .
Et quand cela se produit il se passe alors une des choses les plus incroyables que l’on est la possibilité de voir dans sa vie : la transmutation Zorgonautienne, ou comment un animal de Zorg en arrivant sur votre planète se voit subir une combinaison mutagène en un autre animal, son ADN se combine de par le passage intersidéral en autre chose qui serait pour vous l’équivalent d’un animal imaginaire. Pour les Zorgonautes cela ne fait aucun doute que ce sont des animaux de Zorg qui se sont combinés en empruntant le passage . Aujourd hui votre manque d’imagination vous fait croire que les sirènes, les dragons les griffons les centaures les minotaures etc… ne sont qu’ affabulations , et vous a amenez à croire en l’ évolution selon Darwin.
Ainsi ma dernière visite et mon dernier retour par « la porte », un Cobrafe m’a suivi et le passage a vu naître un GIRABRA :
GRENOCEROS :
Les Grenocéros sont des amphifères. Ils peuvent mesurer 8 m de longueur pour 2 m 50 à 5 m de hauteur au garrot, et une masse pouvant avoisiner les 6 tonnes. Ce sont les plus gros amphifères Zorgonautiens actuels.
Le grenocéros porte deux cornes sur le nez, un corps massif dotés d'une musculature impressionnante, caractérisés par une peau rugueuse donnant l'impression d'un blindage, des pattes plus courtes à l’avant, une marche lente.
Malgré cette apparence, les grenocéros sont des animaux angoissés et phobiques, et chaque frayeur les fait sursauter très haut si nécessaire, jusqu'à 50 mètres de hauteur pour les plus effarouchés, provoquant ainsi, vu son poids, un environnement d’aspect lunaire.
Les grenocéros en raison de leur haptophobie sont actuellement menacées de disparition. En effet Dans les contes zorgonautiens, un prince ou une princesse, transformés en grenocéros par un sortilège attendent qu'on les délivre de leur sort, en général par un baiser sur la corne.
NB HS de l’auteur :
Les cornes, aux prétendues propriétés aphrodisiaques, sont en fait composées de kératine, une protéine fibrillaire comme nos cheveux et nos ongles. Des tests fait en laboratoire ont conclus :« Médicalement c'est comme se ronger les ongles » (Société Zoologique de Zorg). Un hasard ? Je ne crois pas.
ZORG DIORAMA 1:
LA CHEVAUCHÉE ILLÉGALE ANNUELLE DE LA PLANÈTE ZORG
VUE GÉNÉRALE
LES COUREURS
LES SECOURISTES
LES TRIBUNES
Le Chevoq :
CHEVOQ :
Le chevoq est un petit oisifère , si petit que les Zorgaunautes l’ utilisent à l intérieur de mécanismes tel que l'horloge mécanique, le cri du chevoq sert donc à donner l'heure.
Au galop, il permet également de remonter le mécanisme de ces horloges.
Le chevoq produit un premier pic sonore à l'aube du levée de chacun des trois soleils de Zorg, mais jamais de dernier puisqu’il n’y fait jamais nuit, il chante donc toute la journée et également à chaque entrée de chacun des vingt-trois satellites de Zorg .
Le Fourmichat
Le fourmichat (formifélis) est un mammisecte de la famille des hyménoptèridés.
Ces mammisectes forment des colonies dont aucun des membres ne peut s’entendre ; en effet Le fourmichat est territorial ; ils se partagent ainsi difficilement leur territoire.
Les sociétés de fourmichats ont une division du travail très simpliste qui consiste à dormir 18h par jour. Cette analogie avec les sociétés Zorgonautes a depuis longtemps été une source d'inspiration.
Les fourmichats communiquent principalement entre eux par des phéromones ou des positions corporelles. Mais en présence de Zorgonautes, le fourmichat étant très sensible aux caresses, émet un ronronnement. Cet état, comme le sommeil, pourrait être réparateur pour l’organisme et comblerait ainsi les heures de sommeils manquantes aux premières 18h. On pense que le ronronnement est également très bénéfique aux zorgonautes, notamment grâce à un effet relaxant.